Tsunami ou Mossaderie

  Accueil ] Remonter ]

Le réseau Voltaire communique :

Tsunami ou Mossaderie ?

Après l’effroyable imposture du 11 septembre 2001, dont il a été précédemment démontré et prouvé qu’il s’agissait bien d’un complot des services secrets américains visant à justifier une guerre contre l’Irak de Saddam Hussein, on voudrait maintenant nous faire croire, depuis un an, qu’une vague de proportions inouïes s’est levée, le 26 décembre 2004, du fond de l’Océan indien pour balayer, sur un mode aussi cinématographique que biblique, les côtes populeuses qui le bordent. A en croire le concert des médias relayant la bonne parole des gouvernants, près d’un quart de million d’êtres humains auraient été ainsi emportés dans cet accès de furie maritime, en Indonésie et en Thaïlande sur la rive orientale de l’océan, et au Sri Lanka, en Inde et aux Maldives sur sa façade occidentale. Les faits tels que rapportés par les médias ne résistent pas à l’analyse critique – sauf si l’on s’en tient au même aveuglement qui a rendu possible la manipulation de l’opinion après les deux accidents d’avions (et deux seulement) presque simultanés survenus dans l’espace aérien de New York en septembre 2001. Deux distorsions majeures ont inhibé la collecte d’une information complète et objective sur le « tsunami ». La faiblesse des témoignages directs, d’une part, et le peu d’empressement de la communauté scientifique à s’interroger sur le phénomène tellurique qui est censé être à son origine.

Les témoignages

Le bilan des victimes, pour commencer, est unanimement présenté comme une vérité d’ordre divin : 230 000 personnes auraient disparu en quelque 20 minutes dans la matinée du 26 décembre 2004. D’où vient se chiffre ? Au mieux, de sources de seconde main dans chaque cas individuel. Au pire, de sources encore plus distantes, par un phénomène d’accumulation. Il va de soi qu’aucun des responsables, porte-parole et journalistes qui le répètent à l’envi depuis douze mois, ne connaissait une seule des personnes censées être inclues dans ce bilan. Ainsi, pour un cas bien précis que notre enquête a permis de mettre à jour, il a suffi que Mme Fatima Fernandez, la concierge de l’immeuble parisien où a habité un temps un diplomate de haut rang ultérieurement posté à l’ambassade de France à Djakarta (Indonésie), affirme à une chaîne de télévision que son petit neveu Domingo était au nombre des victimes puisqu’il était en vacances sur une plage indonésienne et n’avait plus, depuis, téléphoné à sa grand’tante, pour qu’aussitôt l’intéressé vienne grossir les rangs des « disparus ». Nous avons longuement enquêté sur Domingo. Celui-ci, avant le prétendu tsunami, tenait le rouleau à peinture dans une entreprise de décoration intérieure du XIXe arrondissement de Paris. Or, après le « tsunami », revenu de ses vacances (il se trouvait à Bali, pratiquant son sport préféré, le surf), il continue de tenir le rouleau à peinture dans la même entreprise. Lorsque nous l’avons interrogé sur sa « disparition », il nous a répondu : « Pourquoi la vieille j’en avait vraiment marrj cthe vieille pie qu’al veut qujui télphone toutes les jemainej pour qhju dije bonjour qu’avec ses vieux jourjs advient gâteuj, je m’a dit on va faire jouer tjunami et hop ! dijparu le Domingo ! » La « disparition » de Domingo n’est pas la seule de cet acabit. Nous avons quantité de raisons de penser que nombre de ceux qu’on voit à longueur de mois, sur les écrans, pleurer la disparition d’un proche – épouse, frère, fils, ami d’enfance – ignoraient tout de la haine qu’ils concentraient sur leur personne de la part de ces « victimes » supposées. Nous ne citerons pas de nom complet parce que telle n’est pas notre habitude déontologique, s’agissant d’une tactique du terrorisme intellectuel que d’affirmer sans preuves l’identité d’un intervenant dans le concert médiatique. Ainsi, quel lecteur, quel téléspectateur est en mesure de vérifier l’état-civil de celui qui lui est présenté comme « M. LaJoie du C., Pdg à Grenoble », et qu’on voit se lamenter d’avoir « perdu » sa belle-mère dans le « tsunami » ? Il se trouve qu’un de nos amis connaissait bien la belle-mère de M. LaJoie du C. dès avant le « tsunami ». Celle-ci, Marguerite U., tenait son gendre en piètre estime depuis qu’elle avait découvert qu’il n’était pas du tout « Pdg à Grenoble » comme il le lui avait toujours dit, mais propriétaire d’un bordel à Toulouse et tenancier d’un casino clandestin à Bourg-en-Bresse, et avait eu des ennuis avec la police pour pédophilie avant que d’épouser Cunégonde U., la fille de Marguerite. Marguerite U. n’a, certes, pas donné de nouvelles à son gendre, ni à notre ami, depuis le 26 décembre 2004. Mais elle était connue de ce dernier pour avoir horreur de la chaleur et ne pouvait donc en aucun cas se trouver sous les tropiques à Noël. Encore s’agit-il là de personnes s’exprimant sur la scène publique de pays comme le nôtre où l’état-civil, les registres de pièces d’identité et le relevé de santé de chacun font l’objet d’une ample documentation. Imagine-t-on, à la lueur des deux exemples susmentionnés, pris dans une pléthore de cas similaires, la fiabilité de témoignages du même ordre de la part de populations peu éduquées, dans des régions côtières où la police elle-même est incapable de donner le nombre précis des administrés d’un village, et où la seule culture véritablement partagée à travers le spectre social est celle de l’entourloupe aux fonds privés ou publics ? Les médias ont fait grand cas d’un petit nombre de « miraculés » du « tsunami », ayant survécu plusieurs jours dans la solitude d’une baignade prolongée, au point qu’on les avait initialement comptés parmi les victimes. En réalité, sait-on combien de ces cadavres vus sur les premières images télévisées du « tsunami », se sont tranquillement relevés après le tournage, ayant justifié à plat dans la boue le petit salaire qui leur avait été promis, pour leur prestation, par quelque politicien malhonnête, quelque maire peu scrupuleux, pour tenter d’attirer sur sa circonscription, son village, une part du bonus de la compassion mondiale ? A-t-on entendu un représentant de l’aide internationale, un responsable politique, un journaliste, seulement poser la question ? Les « miraculés » eux-mêmes ont été placés à l’abri de toute investigation sur les éventuelles dérives mythomanes dont ils auraient été coutumiers depuis bien avant le tsunami. Ainsi, l’un de ces « miraculés », le jeune Thaïlandais Chaipitwansatrâp Vajylongkornchekprâ, avait plusieurs fois menti à ses parents quand il leur assurait qu’il allait à l’école, alors qu’il passait la journée à tirer la grenouille au lance-pierre avec quelques autres garnements du village. N’aurait-on pu, avant de répéter l’histoire de sa survie à l’échelle des chaînes de télévision satellitaires, examiner le registre psycho-éducatif de son établissement, où ces faits étaient très certainement rapportés ?

L’analyse scientifique

Il est de notoriété publique que le phénomène du tsunami, fréquent dans l’Océan Pacifique, ne s’est jamais produit, par le passé, du moins celui qui nous est connu, jusqu’aux plus anciennes traces écrites, sur une pareille échelle dans l’Océan indien. La méthodologie de la communauté scientifique a consisté à considérer d’emblée qu’il s’agissait d’une nouveauté. Elle aurait dû consister à envisager aussi l’hypothèse contraire, à savoir que puisque aucun précédent n’avait jamais été enregistré, peut-être n’était-ce pas une nouveauté, mais une invention. Certes pas une « invention tectonique », sauf à imaginer quelque abominable complot juif consistant à provoquer une explosion nucléaire sous-marine de grand fond de manière à tester les défenses du monde arabo-indien face à pareil imprévu. Mais une invention à tout le moins médiatique dont il conviendrait alors de tenter de discerner le mobile. Or il est évident qu’une invention absolue, sur cette ampleur, aurait eu du mal à passer le test d’un examen critique primaire si aucune vaguelette n’avait été détectée par aucun observatoire de la planète. Le réseau Voltaire n’entend pas démontrer que la mer était parfaitement étale sur toute la largeur de l’Océan Indien le 26 décembre 2004 au matin. Les informations que nous avons recueillies à ce propos montrent au contraire qu’un tout autre scénario semble avoir été mis à l’œuvre. Plus sinistre, peut-être. Israël procède, comme le sait parfaitement la communauté mondiale du renseignement, depuis octobre 2001, à diverses expériences sur la résistance des matériaux entrant dans la fabrication des bâtiments de sa flotte de guerre. Au moins quatre d’entre elles ont été répertoriées dans des documents soumis à la Commission Défense de la Chambre des Représentants à Washington, mais aucun examen en session de ces documents n’a été autorisé pour le moment. Ces expériences ont lieu au large d’une base navale située au nord de Tel Aviv. Nos informations, de sources les plus dignes de foi, indiquent qu’un bilan général de ces diverses expériences, en novembre 2004, attirait l’attention des responsables israéliens sur les faits suivants : en perçant un petit trou au fond de la coque d’une vedette du type de celles subtilisées jadis à Cherbourg (France), même après réhabilitation et modernisation par l’industrie militaire israélienne, on pouvait obtenir, en accentuant le mouvement de l’eau à l’entour du bâtiment à l’aide de petits rotors électriques sous-marins, un clapotis suffisant pour faire chavirer les matelas pneumatiques de baigneurs insouciants dans un rayon de 25 mètres. Partant du principe qu’un réseau terroriste pourrait être amené à se livrer à pareil sabotage dans le but de semer la panique au niveau international, les services de recherche de la marine israélienne suggéraient des tests à plus grande échelle afin de déterminer les nécessaires améliorations à apporter aux matériaux de la coque de ses bâtiments ; Or ces expériences ayant eu lieu jusqu’à présent en Méditerranée, les résultats étaient dénaturés par deux facteurs principaux : la haute teneur en sel des eaux de cette mer, et la présence – encore que de moins en moins envahissante – de rascasse, poisson connu pour la dureté de ses arrêtes. La marine israélienne décida donc d’envoyer un bâtiment de 2000 tonnes dans l’Océan Indien à la mi-novembre afin de procéder à un test similaire dans une eau moins saline et en l’absence de rascasse (absence attestée par le fait qu’aucun des pays de la rive orientale de cet océan n’a développé, dans sa gastronomie, une recette culinaire approchant de près ou de loin la bouillabaisse). Le bâtiment se retrouva sur la bordure du plateau continental, à quelques encablures d’Atjeh (nord de Sumatra), le 24 décembre. On ne fêta pas la Noël chrétienne à bord. On se prépara à l’action. Le 26 décembre au matin, l’expérience entra dans sa phase active. Des hommes-grenouilles plongèrent du bâtiment, armés d’une perceuse à forte percussion sous protection étanche, et s’attaquèrent à la coque. En un rien de temps, le mouvement de l’eau perturbée par la dépression créée dans l’intérieur du navire entraîna la formation de vagues que les petits rotors d’appoint amplifièrent suffisamment pour qu’elles viennent bousculer, sur le rivage de la province d’Atjeh, en l’île de Sumatra, quelques bicoques chancelantes de marchands de souvenirs et de brochettes grillées qui déguerpirent dare-dare devant ce coup du sort.

Discussion et argumentaire

La thèse développée ci-dessus n’a pas de caractère définitif. On lui objectera, à n’en pas douter, quelques contre-arguments. A commencer par les scènes de dévastation filmées par les caméras de télévision du monde entier, depuis des hélicoptères, sur les côtes touchées par le « tsunami ». Nous ne méconnaissons pas cette observation, ni ne contestons l’authenticité de ces images. D’affreuses marques de destruction à grande échelle ont été indiscutablement relevées, simultanément ou presque, dans toutes les zones considérées. Nous soulignons toutefois qu’un manque d’esprit critique a amené à négliger la qualité des constructions anéanties, attribuant du même coup les destructions à un puissant « tsunami » comme on en voit dans l’Océan Pacifique (pourtant parcouru en tous sens par la U.S. Navy). Il était évident à tout maçon digne de cette profession (nous ne sommes pas trop mal placés pour mesurer le poids de ce que nous avançons) que ces habitations étaient érigées à l’aide de matériaux à tel point défectueux – ciments mal préparés, briquettes mal montées, plaques préfabriquées de piètre qualité – qu’il faudrait qu’un jour elles s’effondrassent. De premières recherches semblent indiquer qu’un coup de brise un peu forte souffla en ce matin fatal du 26 décembre 2004 au moment même où la marine de guerre israélienne procédait à son expérience. Que cette coïncidence ait pu accentuer l’effet des vagues provenant de la coque percée, tout en balayant par la même occasion ces dizaines de milliers de masures qui ne mériteraient nulle part dans le monde civilisé d’être l’objet d’un permis de construire, voilà qui n’aurait en soi rien d’étonnant. Les manigances israéliennes auraient, du coup, reçu l’accidentel soutien de la météorologie venue aggraver les conséquences d’une expérience à échelle réduite.

Conclusion

La responsabilité des médias objectivement alliés à l’Etat juif ou soumis à son influence dans la propagation d’une nouvelle imposture visant à renforcer la nation des fils d’Abraham face au monde arabo-musulman sera bien entendu à examiner quand toute la lumière sera faite, car elle le sera un jour, sur les manipulations à répétition auxquelles est soumise l’opinion mondiale, dont le soi-disant « tsunami » de 2004 n’est que le plus récent exercice. Le réseau Voltaire s’y emploiera comme il s’emploie, depuis le 11 septembre 2001, a fournir des réponses rationnelles, scientifiquement établies et objectivement documentées, à des interrogations légitimes concernant les grandes problématiques du 21e siècle dans les complots que l’Occident va devoir affronter.

Le 26 décembre 2005